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Actus (398)

Monsieur le Ministre des Finances et du Budget ;

Monsieur le Ministre de l’Education Nationale et de la Promotion Civique ;  

Honorable Député Président de la Commission Education de l’Assemblée Nationale ; 

Monsieur le Directeur de l’Observatoire Tchadien des Finances Publiques 

Mesdames, Messieurs les Directeurs Généraux, Directeurs et Chefs de services ;

Mesdames, Messieurs les Représentants d’organismes et institutions partenaires techniques et financiers du Tchad ;

Mesdames, Messieurs ;

 

Distingués invités.

C’est pour moi un réel plaisir de prendre la parole au cours de la cérémonie du Lancement de la Plateforme de Contrôle Citoyen de l’effectivité du personnel enseignant sur les lieux d’affectation.  

Permettez-moi de saisir cette opportunité pour remercier le Ministère des Finances et du Budget et le Ministère de l’Education Nationale et de la Promotion Civique pour l’organisation de cet évènement, ainsi qu’à toutes les organisations et partenaires qui ont accepté de prendre part aux présents travaux. 

 

Mesdames et Messieurs,

La présence effective du personnel enseignant dans leurs lieux d’affectation dans le respect du calendrier scolaire est un critère indispensable de la qualité de l’éducation. 

Ces dernières années, le Gouvernement a consenti d’énormes efforts pour améliorer la qualité du système éducatif, avec l’appui de ses partenaires techniques et financiers et de la société civile, notamment les syndicats et les associations des parents d’élèves. 

En 2018, la masse salariale du Ministère de l’Education Nationale a représenté 88% des dépenses totales du Ministère, et 30% des dépenses du personnel civil de l’Etat. D’où l’importance de l’effectivité de la présence des enseignants afin d’assurer l’efficacité de l’éducation, mais aussi d’une manière générale de la fonction publique au Tchad.  

En dépit des efforts et des opérations de contrôle ou de recensement du personnel de l’Etat, certains enseignants continuent d’être absents dans leur poste d’affectation.  Même s’ils sont présents, leur présence effective dans les classes est à déplorer. Ceci a un impact sur le niveau d’apprentissage des élèves, et constitue un surcoût pour l’Etat et les parents d’élèves. Le rapport PASEC 2014 note qu’une grande proportion des élèves en fin du primaire ne maîtrise pas les connaissances et compétences suffisantes pour poursuivre une scolarité dans de bonnes conditions (84,3% en lecture et 80,9% en mathématiques).

D’où l’idée du contrôle citoyen à travers les bénéficiaires eux-mêmes. 

 

Mesdames et Messieurs,

L’approche par le contrôle citoyen se généralise de plus en plus dans les pays en développement, notamment en Afrique, comme un soubassement important des politiques sociales.

 

L’UNICEF, dans la continuité de sa démarche de soutien aux politiques publiques en faveur des enfants, s’intéresse à la redevabilité sociale et au contrôle citoyen. Des initiatives de responsabilité sociale dirigées par les citoyens, ascendantes et fondées sur la demande, peuvent apporter une contribution importante au renforcement de la mise en œuvre des engagements internationaux en matière des droits de l'enfant. Des mécanismes de reddition de comptes bien conçus peuvent aider à mieux réagir face aux communautés en réduisant la corruption, en créant de nouveaux espaces pour la participation des citoyens, en autonomisant les voix locales et en améliorant l'utilisation et le suivi des budgets et des services publics. 

Ainsi, l’UNICEF soutient de plus en plus de diverses initiatives de responsabilisation sociale en matière de droits de l’enfant dans toutes les régions. L’organisation met l’accent sur les différents niveaux de gouvernance, du niveau national au niveau local, ainsi que sur divers processus de gouvernance, allant de l’élaboration et de la planification des politiques au suivi des dépenses en passant par le contrôle de la qualité des services publics.

C’est pourquoi que l’UNICEF est au côté du Gouvernement du Tchad pour apporter son assistance technique et aide à établir une plateforme de contrôle citoyen qui contribuera à accroître le taux d’effectivité des enseignants, à améliorer les performances du secteur et le niveau d’apprentissage des enfants, ainsi qu’à maitriser les dépenses du personnel enseignant. 

Il est important qu’après cette phase de lancement aujourd’hui, l’installation, la sensibilisation et la formation des membres des comités de contrôle citoyen se poursuivent incessamment. Ces comites joueront un rôle central dans le suivi de la présence du personnel enseignant et dans la remontée immédiate de l’information aux autorités, pour une prise de décision bien informée et adaptée à la situation. 

 

Mesdames et Messieurs,

Ce matin, nous découvrirons comment la plateforme fonctionne. Nous   aurions également l’opportunité de tester la présence de quelques enseignants des provinces du Lac et du Logone Oriental ciblées dans cette phase pilote. Et c’est l’occasion de réfléchir sur la mise en l’échelle de cette initiative dans le cadre du partenariat élargi avec les bailleurs techniques et financiers intervenant en appui aux finances publiques et au secteur de l’éducation au Tchad. 

Pour conclure, je voudrais vous assurer de la disponibilité de l’UNICEF, en collaboration avec les autres agences du Système des Nations Unies et ses partenaires au développement au Tchad, à accompagner la mise en œuvre et le suivi de la plateforme de contrôle citoyen, afin d’assurer de bons résultats dans le secteur de l’éducation dans les années à venir.

Je renouvelle mes encouragements au Gouvernement à travers le Ministère de l’Education Nationale et de la Promotion Civique et le Ministère des Finances et du Budget pour ses efforts en vue d’une efficience accrue de la gestion des finances publiques en général et dans le secteur de l’éducation en particulier.

 

Je souhaite plein succès à vos travaux.

Je vous remercie. 

Excellences, Mesdames et Messieurs les Présidents des Grandes Institutions de la République ; 

Mesdames et Messieurs les Membres du Gouvernement ;

Mesdames, Messieurs les Députés ;
Excellences, Mesdames et Messieurs les Ambassadeurs, Chefs de missions diplomatiques et des organisations internationales ;

Madame la Représentante de l’UNICEF ;

Mesdames et Messieurs les partenaires techniques et financiers du Tchad ;

Mesdames et Messieurs les Directeurs Généraux des Ministères, Directeurs Généraux des services, coordonnateurs des Programmes et Projets, Directeurs des Services ;

Mesdames, Messieurs les Responsables des Associations des parents d’élèves et de la Société civile

Distingués Invités, en vos rangs, grades et qualités respectifs ;

Soyez les bienvenues 

Je voudrais avant tout propos vous remercier d’avoir honoré de votre présence  cet atelier de lancement. 

Chers collègues membres du Gouvernement ;

C’est un grand plaisir pour moi de prendre la parole en présence de Monsieur le Ministre de l’Education Nationale et de la Promotion Civique qui nous fait l’honneur de co-présider cette cérémonie de lancement de la plateforme decontrôle citoyen de l’assiduité du personnel enseignant. Ce projet est le fruit d’une étroite collaboration entre nos deux Ministères.

 

Madame la Représentante de l’UNICEF 

Nous sommes réunis ici pour interagir sur un mécanisme innovant devant permettre d’améliorer la qualité des dépenses publiques dans le secteur de l’éducation pour lequel vous n’avez ménagé aucun effort technique et financier. 

 

Même si aujourd’hui, le projet ne concerne que le Ministère de l’Education, il faut noter que c’est une innovation en matière d’amélioration de la gestion des finances publiques que le Gouvernement du Tchad entend mettre en œuvre progressivement dans l’ensemble de l’administration publique.

 

Mesdames, Messieurs, distingués invités 

 

Je voudrais rappeler que depuis plus d’une décennie déjà, le Ministère des Finances et du Budget s’est engagé pleinement dans un vaste processus de réformes. C’est ainsi que, nous sommes parmi les premiers pays de la CEMAC à avoir transposer l’ensemble des six (6) directives communautaires du nouveau Cadre Harmonisé de la Gestion des Finances Publiques. La dernière en date a été la Loi portant Code de la Transparence et de la Bonne Gouvernance du 24 novembre 2016.

 

Parmi les reformes qui concernent l’amélioration de la qualité des dépenses publiques, figure l’informatisation de la base de données du personnel civil de l’Etat qui a débouché sur l’implémentation du Système Intégré de Gestion Administrative et Salariale du Personnel de l’État (SIGASPE). Dans le cadre de cette informatisation, le recensement biométrique réalisé en 2014 a permis de détecter 4 566 agents fictifs.

 

Le présent projet s’inscrit dans la même logique d’amélioration de la qualité des dépenses publiques et le choix du Ministère de l’Éducation Nationale n’est pas fortuit. En effet, en moyenne entre 2012 et 2016, la masse salariale et l’effectif du personnel de ce Ministère ont représenté respectivement 43% des dépenses du personnel civil de l’État et 40 % du nombre total des fonctionnaires soient 34 868 fonctionnaires sur un effectif  total de 89 008 en 2016. 

 

En dépit des efforts des Ministères en charge de l’Education et de celui des Finances pour assurer la prise en charge des enseignants dans leurs lieux d’affectation, il se pose un sérieux problème de la présence effective du personnel enseignant sur  leurs lieux de travail.

 

En effet, l’abandon de poste par le personnel enseignant a un effet négatif sur les performances du système éducatif du Tchad. Il explique dans une certaine mesure, les mauvais classements du pays dans les indicateurs de développement. 

 

Malgré plusieurs opérations de contrôle classiques réalisées par le corps d’inspection du Ministère de l’Education Nationale et les contrôles ponctuels du Ministère des Finances, force est de constater que l’abandon de poste notamment en zone rurale perdure. D’où la nécessité de la mise en place d’une stratégie innovante de contrôle de l’assiduité du personnel enseignant et cela dans le strict respect du calendrier scolaire.

 

Parmi toutes les solutions expérimentées à travers le monde, « le contrôle citoyen de l’action publique (CCAP)» est souvent utilisé pour pallier les insuffisances des outils traditionnels de contrôle. Cette méthode, peu coûteuse, permettra, dans le contexte tchadien, d’améliorer la présence des enseignants sur leurs lieux de travail grâce à l’implication des bénéficiaires directs (élèves et parents d’élèves).

 

Le contrôle citoyen va donc non seulement renforcer les capacités des populations à participer et contrôler la gestion des affaires publiques mais à aussi améliorer la redevabilité des acteurs publics. 

 

Mesdames, Messieurs, les participants,

Les présentations que vous allez suivre durant cet atelier vous permettront de : 

§  Mieux appréhender le concept de « contrôle citoyen de l’action publique », 

§  Comprendre le fonctionnement de la plateforme mobile de contrôle .

 

Je vous encourage donc à être ouvert et à participer activement aux débats et à l’atelier afin qu’à la fin de cette journée et pour les années à venir, vous soyez mieux outillés pour jouer pleinement et efficacement votre partition dans la modernisation de l’administration publique tchadienne.

Excellences, Mesdames et Messieurs, Chers invités ; 

Permettez-moi de vous annoncer que cet atelier est l’œuvre de l’Observatoire Tchadien des Finances Publiques. L’Observatoire est une structure duMinistère des Finances et du Budget qui a pour objectif d’exécuter des projets concourant à la transparence et à la bonne gouvernance dans la gestion des finances publiques. 

Cette tribune m’offre ainsi  l’occasion d’inviter les Partenaires Techniques et Financiers à soutenir les projets innovants initiés par l’observatoire.

 

Mesdames et Messieurs, Chers invités ;

Enfin, je ne pourrais terminer mon propos sans remercier l’UNICEF, qui, fidèle à sa mission, permet la tenue de cet atelier et qui a manifesté son accord pour le financement intégral de ce projet. 

C’est aussi le moment de féliciter tous ceux qui continuent à déployer des efforts en faveur de la qualité de la gestion des finances publiques au Tchad. Cela entre dans la droite ligne de la politique de l’excellence et de la qualité prônée par le Chef de l’Etat, son Excellence le Président Idriss Deby Itno.

Ce processus qui est en marche mérite d’être soutenu car cela est prometteur.

C’est sur cette note d’espoir que je déclare ouvert l’atelier de lancement officiel de la plateforme de contrôle citoyen du personnel enseignant ». 

Je vous remercie pour votre aimable attention.

Le Directeur Général du Ministère des Finances et du Budget Mahamat Senoussi Zakaria a reçu MonsieurLaurent Blaise Tago Représentant résident de laBDEAC au Tchad.

Les deux personnalités ont discuté sur les différents pro- jets financés par la BDEAC.

Dans le cadre de la préparation du projet de loi des Finances 2020 un atelier de renforcement des dispositifs techniques de cadrage macroéconomique et budgétaire2019-2022 a débuté le 07 janvier 2019 dans les locaux de la Banque des Etats de l’Afrique Centrale (BEAC). Commencé par la collecte des données sur les quatre comptes macroéconomiques (secteur réel, finances publiques, la balance de paiement, et la situation monétaire).

Le secrétariat permanent du comité de cadrage macroéconomique et des budgets économiques a bénéficié d’un appui technique du centre régional d’assistance technique pour l’Afrique centrale (AFRITAC Centre). A cet effet, un atelier de renforcement des dispositifs techniques de cadrage macroéconomique et budgétaire a été organisé du 21 janvier au 01 février 2019.

Cette mission d’assistance technique a été conduite par MM. Severin Yves Kamgna, conseiller résident AFRITAC Centre, et Rolf Meier, Expert du FMI. Il convient de rappelerque ce dernier est l’expert international qui a conçu le modèle SIGNET (Système Intégré de Gestion Nationale de l’Econo- mie Tchadienne) qui sert pour le cadrage macroéconomique et budgétaire depuis 2010.

Cette assistance technique avait pour objectif d’effectuer un diagnostic approfondi du fonctionnement du modèle SIGNET et à proposer des aménagements éventuels. A son arrivée, elle a été reçue par M. Saleh IDRISS GOUKOUNI, le Directeur des Etudes et de la Prévision en présence de son adjoint M. BADY EBE à qui elle a présenté les objectifs de la mission et discuté du format retenu pour les activités.

L’atelier a vu la participation d’une trentaine des cadres, membres de l’équipe technique du Comité de cadrage macroéconomique et des budgets économiques, issus des Ministères en charge des finances et du Budget, de l’Economie, des hydrocarbures, de l’agriculture, de l’Institut National de la Statistique, des Etudes Economiques et Démographiques et de la Direction Nationale de la BEAC. La première semaine a

été consacrée à un examen approfondi du fonctionnement du modèle SIGNET, des défaillances techniques et opérationnelles, de l’identification des corrections immédiates à y apporter et d’une feuille de route pour le renforcement du modèle SIGNET. La deuxième semaine a été consacrée à une formation sur l’élaboration des modèles macroéconomiques centrés sur des tableaux ressources-emplois (TRE) et aux révisions techniques du modèle SIGNET.

La mission a eu une séance de travail avec le Programme d’appui à la consolidation de l’Etat – Phase 2 (ACET 2) de la Délégation de l’Union Européen qui a inscrit dans son pro- gramme d’activités des appuis complémentaires au renforcement de l’opérationnalisation du modèle SIGNET.

La mission d’assistance technique a présenté ses conclusions au cours d’une séance de clôture de l’Atelier présidée par le Directeur Général de Services du Budget (DGB), M. Idriss BRAHIM MAHAMAT ITNO en présence du Représentant résident du FMI, M. Joseph NTAMATUNGIRO et des cadres ayant participé aux ateliers. Elle a été l’occasion pour le DGB de renouveler le besoin de renforcement des dispositifs de préparation des projections macroéconomiques et budgétaires et de se féliciter des résultats et des recommandations de la mission. Il a notamment souligné la nécessité de missions d’assistance technique supplémentaires d’AFRITAC Centre et du FMI pour mettre en œuvre la feuille de route élaborée au cours de la mission.

Les travaux techniques de cadrage macroéconomique et budgétaire 2019-2022 se poursuivent tous les jours(conformément à la note de service Réf / N°001 MFB/ DGM/CCMBE/SP/2019) et ceci jusqu’à mars 2019 dans la salle de réunion de la Direction des Etudes et de la Prévision selon le calendrier établi.

Le Ministre des Finances et du Budget M. ALLALI Mahamat Abakar a reçu en audience le mardi 19 février 2019, la représentante résidente de l’UNICEF Tchad Dr Viviane VAN STEIRTEGHEM. Cette visite de courtoisie de la représentante résidente de l’UNICEF s’inscrit dans le bon partenariat entre son institution et le Ministère des Finances et du Budget (MFB). C’était aussi l’occasion pour renforcer ce partenariat dans le domaine des finances publiques sen- sibles aux droits des enfants.

Depuis 2016, plusieurs projets du MFB ont bénéficié de l’appui de l’UNICEF, parmi lesquels, la mise en œuvre du projet « amélioration de la qualité des dépenses publiques d’éducation par un contrôle citoyen de l’effectivité du personnel enseignant par l’usage de la téléphonie mobile ». C’est un projet porté par l’observatoire tchadien des finances publiques (OTFIP) du MFB. A ce titre, les deux institutions ont convenu de la date de 27 février 2019 pour le lancement de la plateforme mobile pour le contrôle citoyen de l’effectivité du personnel enseignant.

Lors de cette visite étaient aux côtés du Ministre le Directeur Général des Services du Budget et le Directeur des Études et de la Prévision Adjoint.

Le Ministre des Finances et du Budget, Monsieur ALLALI MAHAMAT ABAKAR accompagné des Directeurs Générauxet ses conseillers a fait une descente à la Direction Générale du Trésor et de la Comptabilité Publique le 30 janvier 2019.

L’objectif de cette visite est de s’imprégner des conditions de travail des agents du trésor et constater les difficultés aux- quelles ils font face dans l’exercice de leurs tâches.

Le Ministre situe la place qu’occupe le trésor dans l’organi- gramme du Ministère des Finances et du Budget, il ressort que le trésor occupe une place d’architecture dans l’appareil étatique. Toutes les projections de l’Etat viennent des prévisions faite par le trésor public. Ces dernières permettent aux partenaires techniques et financiers de se situer. C’est pourquoi les agents du trésor doivent prendre conscience de l’importance de la mission qui leur ait confiée.

Le Directeur Général du Trésor et de la Comptabilité Publique, Monsieur DJIMET NGOUTINE se réjouit de la visite du Ministre dans leurs locaux pour s’imprégner des problèmes du trésor.

En 2018 le trésor a eu des difficultés pour la production de la balance des paiements. A cet effet, un comité a été mis sur pied et a étudié ces difficultés, pour lesquels les recommandations suivantes ont été faites:

 Définir une procédure de transmission des pièces comptables du STRAT vers les divisions concernées ;

Rappeler aux chefs des divisions, leur mission des passations des écritures et du pointage ;

Faire mensuellement le pointage provisoire et définitif avec tous les teneurs des comptes ;

 Suivre les rubriques budgétaires dans la situation de recouvrement ;

Déterminer les intérêts des BTA, les comptabiliser et régulariser ;

 Joindre les fiches d’écritures aux OV pour éviter la non passation des écritures ;

 Faire un dépôt hebdomadaire des comptabilités de la DGE ;

 Faire régulièrement le rapprochement bancaire ;
 Réactualiser la commission d’harmonisation des

chiffres des impôts, des douanes et des domaines ;
 Réactualiser la commission de relecture de la balance ;

 Mettre en place une équipe chargée du suivi des recettes pétrolières en collaboration avec la SHT.

Monsieur ABAKAR DJEROUA SIRINOU, Trésorier PayeurGénéral a salué le travail effectué par le comité, pour mettre à leur disposition des recommandations. Pour lui, il suffit de les prendre en compte pour pallier au problème du trésor.

Quant au Conseiller du Ministre des Finances, MonsieurBIDJERE BENDJAKI souligne que la comptabilité de- mande la rigueur, il faut passer l’écriture au moment indi- qué pour permettre de produire l’état financier et détecter les anomalies à temps pour y remédier.

Le Ministre, pour conclure souligne que le trésor est un corps remplis des professionnels et des spécialistes qui sont fiers de leur travail et il compte sur eux pour le bon fonctionnement du trésor.

Le Secrétaire d’Etat aux Finances et au Budget monsieurAHMED ALKHOUDAR ALI FADEL, a pris part à la troi- sième édition de la série de dialogues sur le secteur finan- cier de l’Afrique centrale à Libreville, le mardi 29 janvier2019.

C’est une réunion organisée conjointement par la Banque Africaine de Développement (BAD) et la Making Finance Work For Africa (MFWFA) sous le thème « Accélérer le développement et l’intégration du secteur financier de l’Afrique centrale ».

Le but de cette réunion est d’identifier les obstacles audéveloppement du secteur financier régional tout en propo- sant des solutions qui lui permettent de jouer pleinement son rôle de catalyseur de la croissance tant au niveau natio- nal que régional. Ainsi, quatre principaux objectifs sont rete- nus notamment:

  • l’élaboration du point sur l’état actuel des réformes en cours dans le secteur financier de l’Afrique centrale; l’identification des domaines d’actions prioritaires et ins- truments innovants à travers lesquels les institutions de financement du développement peuvent renforcer leurs contributions en vue d’un meilleur financement de l’éco- nomie réelle dans la région;
  • L’adoption d’une feuille de route commune pour de nou- velles initiatives en faveur du développement du secteur financier régional et enfin;
  • L’intégration de ces initiatives dans les stratégies et pro-grammes des institutions et de développement régio- nales et internationales y compris la BAD.

Le Directeur du Département du Développement du secteur financier de la BAD Monsieur Stefan Nalletamby, dans son allocution a pointé du doigt le déficit de financementdes objectifs de développement durable en Afrique qui se- lon lui nécessitent « des investissements de l’ordre de600 à 650 milliards de dollars par an ».

Le déficit de financement est estimé à 200 milliards de dol- lars, dont plus de la moitié exclusivement réservée au sec- teur des infrastructures.

Face aux enjeux, les systèmes financiers africains sont généralement étroits et sousdéveloppés par rapport aux autres régions en développement
Au terme de son propos, 
Stefan Nalletamby rappelle quel’institution bancaire panafricaine est ouverte à toute colla- boration pour l’essor du financement du secteur financier de la sous –région CEMAC. « La banque est prête à tra- vailler avec les acteurs publics et privés, et d’autres partenaires au développement pour renforcer le sec- teur financier dans tout nos pays membres régionaux», a-t-il conclu.

Suite au décret N°158/PR/MFB/2019 du 04 février 2019 portant nomination à des postes de responsabilité au Ministère des Finances et du Budget. Le Directeur Général du Ministère, Monsieur MAHAMAT SENOUSSI ZAKARIA à installer le nouveau Directeur de la Caisse Nationale des Retraites du Tchad et l’Agent Comptable dans leur nouvelle fonction le mardi05 février 2019.

Le Directeur Général du Ministère après lecture de l’acte, a installé officiellement le nouveau Directeur de la Caisse Nationale des Retraités du Tchad, Monsieur MAHAMAT ABDELKERIM HAGGAR et l’agent Comptable Madame HADJE ZARA ADJIDE. Le Colonel MAHAMAT ARDJI MAHAMAT est maintenu dans son poste de Directeur Adjoint.

Monsieur MAHAMAT SENOUSSI ZAKARIA n’a pas manqué de dire que la caisse Nationale des Retraites du Tchad est un lieu sociale qu’il faut gérer avec compassion et honnêteté. Il ajoute c’est une Institution que le Chef de l’Etat donne de l’importance, elle peut être un tremplin par lequel vous pouvez avoir toute les bénédictions du monde et le passage par lequel toute les malédictions tomberons aussi sur vous si vous la gérer mal.

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